Pourquoi on ne s'est pas rencontré avant ? [PV :Myokara Cat et Kurayami Jikan]

Qu'est ce que j'étais vraiment ? Je ne pouvais répondre à la questions. J'étais devenue ce que plus petite j'aurais appeler ça un SDF , non que je trouvais pas ça décevant,  je me sentais mal dans ma peau. J'en avais mart de jouer les gamines et les gentil fifille qu'on manipule gentilment disant que c'est pour mon bien. C'est ça c'est ça manipuler moi , mais vous connaitrez assez tôt ma douleur pour sentir ma flèche dans ton coeur. Et puis des mots et des mots. Vous me supplirez , mais je suis pas comme ça, non je rend ce qu'on m'a donné. Pas comme les faibles,  je me lache pas quand je vois qu'on me supplie. C'est ça.

Je m'arrête près du sentier,  j'entends un bruit. Je me rabesse. Enfin une proies. Une proie à ma hauteur je l'espère. La fin me grignotait le ventre , tels un rats mangeant un gruyère alors qu'il n'a pas mangé depis des jours. Mais ce rat plus je lui disais d'arrêter de changer de personnes , il ne s'arrête pas , il creuse plus profondément sentent que je m'affaibli à chaque gois , à chaque morsure. Enfin je prend mon arc , et une flèche dans mon carquois. Je regard par terre , voyant de petites traces de pas . Un lapin. Bof. Je devais me contenter de peu pour plusieurs jours. Enfin je l'aperçois. Je tire. Je me dirige rapidement vers le cadavres. Je m'affale. Enfin à manger. Je le prend le traibant au début et le mettant enfin dans mon sac à dos ou logeait ausdi du pain,  quelques morceaux, très peu. Et je me dirige vers la grotte.

J'entre dans la grotte et je me place dans des fissure presque invisible.  J'étais fière de ma cachette. Je prend des bouts de bois qui traîne et fait un feu. Je grille le lapin , lui enlève les poil d'abord et lui coupe la tête. Pauvre bête. Plutot fière de ma cachette je commence à manger. Et puis j'entends des pas. Je m'imaginais déjà comment ça allait se passer. Il allait demander mon nom , je leur dirais mon surnom, il me demanderons sûrement pourquoi. Et si et ça. Je plisse les yeux. D'autre pas. Je peu m'empêcher de prendre mon arc et de serrer mon carquois contre moi. De mon autre main je serre un bout de la grotte en me mordant les lèvres. Ils était deux et moi seule.

Mes pas se faisaient lourds et pesants. Ma cape noire, salie par différentes souillures, m'entourant entier. Mes cheveux d'encre, parsemé ici et la de mèches blanches, ondulaient sous la brise... Ma tête était enfoncée dans mon écharpe noire aussi naturellement et mes yeux, deux puits vides et sans fond, d'un bleu profond, tel un océan écumeux parsemé de vague et d'écume, étaient sombres, vides, dénués de toutes émotions particulières. Qu'elles soient négative ou positive, car oui il était vrai que je ne ressentais absolument rien en ce moment, pas une once de sensation... Seulement la faim et la fatigue qui me tiraillaient l'estomac et ma tête se faisant lourde aussi, la migraine me martelant le crane depuis plusieurs jours. Je ne comptais plus les jours ou je n'avais pas mangé ni dormi mais je m'étais éloigné un temps de la ville pour pouvoir me reposer un peu, c'était clair je n'en pouvais plus. Mon visage était d'une pâleur effrayante et des cernes violacés faisaient marques sous mes yeux.

Je continue a marcher sur le petit sentier, un petit chemin escarpé et peu entretenu, malgré tout agréable et d'un calme apaisant... Le calme, la tranquillité, rien de tel pour profiter un moment de ce que je ne me permet pas d'habitude. La sacoche accroché dans mon dos contenait du pain sec un un peu d'eau dans une gourde, le pain je comptais le garder pour bien plus tard, et l'eau aussi... Plus loin  un buisson de myrtille trônait, je m'en approcha et en croqua quelques unes, un petit plaisir, qui malgré délicieux ne me remplirait pas l'estomac pour autant... Je continua ma route et arriva près de grande pierre, une petite grotte sombre plus loin. Je levais la tête plissant les paupières, ne distinguant pas le haut de la falaise. Je m'approcha prudemment et sentie sans mal qu'il y avait quelqu'un. Devais je m'approcher ? était ce une bonne idée ? Et si c'était un traqueur ? Bah je n'était même pas sur qu'il y ai quelqu'un... J’entrai prudemment, l'aura noirâtre et charbonneuse qui m'entourait constamment se faisant plus dense... Je vis une fille accroupi, méfiante, un arc a la main. Je soupire et la regarde froidement, avant de soupirer d'épuisement et de reculer. Mes habits, mes cheveux et mon aura me faisant presque fondre dans l'ombre de la grotte. Je dit d'une voix glacial

-Excusez moi pour le dérangement...

Et je me recula pour commencer a partir, je n'étais pas très curieux concernant la vie des autres, et ne m'intéressait pas aux gens, comme les gens ne intéressait pas a moi, et puis je détestais qu'on me pose trop de question... Mais cette fille n'était pas humaine, a son odeur on le voyait facilement... Malgré que cela ai éveillé mon intérêt je n'allais pas demander, même si cette jeune fille me disait quelque chose...

Myokara marchait sur le sol tapissé de feuilles de la forêt. A chacun de ses pas, les feuilles qu'elle touchait gelaient, avant de redevenir normale dès que son pied quittait la surface végétale. La jeune femme avait bien des soucis, ses pensées étaient plus que confuses. La libération, la prison, tout cela était du passé, et désormais, elle devait faire face à l'avenir. Mais comment ? Elle était faible, seule, et ne parvenait même pas à maitriser ses pouvoirs. Une seule parole pouvait tout dérégler, il fallait qu'elle se trouve seule pour être sûre d'elle. Myokara s'était souvent répété de se maitriser, d'arrêter de blâmer, et de penser au sort de ceux qui, comme elle, avait des pouvoirs, mais étaient restés enfermés. Mais tout cela ne changeait rien. La jeune femme-chat maitrisant la glace n'arrivait pas à prendre confiance en elle. Elle était un monstre, un hybride doté de pouvoirs étranges. Myokara était différente des autres. Et cela était plus que difficile à accepter.

Les pas de la femme des glaces la conduisirent à l'entrée d'une caverne rocailleuse. D'instinct, elle su que quelqu'un s'y trouvait. Son angoisse monta d'un cran. Un traqueur ? Non, c'était impossible ! Elle recula doucement vers l'entrée qu'elle venait de franchir, car une ombre armée se trouvait face à elle. Mais soudain, elle se cogna contre un homme, à en juger l'odeur, juste derrière elle, et tomba à la renverse.

Je vois enfin ce que c'est . Un jeune homme. Je le voyais à peine avec le peu de luminosité dans la grotte. Je plisse les yeux pour essayer de mieux le voir.  De l'identifier. Mais je ne le connaissais pas , j'en étais sûr, même si son visage me disais quelque chose. Au lieu de l'accoster je reste dans mon coin , ne le demandant pas si il allait bien où qui il était. Sa me disais quelque chose. Quand on se parlais à peine. Avant bien avant. Mais quand et o ? Sans réponse . Je lache un soupir en rabessant les yeux. Je ne voulais pas faire ma gamine et l'accoster en le séduisant. J'arrivais vraiment à me dégoûter toute seul.

M'enfonçant encore plus de la fissure de la grotte. De mon sac je sort le pain que je mange avec avidité. La faim me succomberais un jour. Mais pas maintenant , il fallait profiter de chaque moment. J'entendais toujours des pas . Des pas ? SCHRISH. De la neige ? Il a neigé en cetre saison ? Juste après. Mais que ? Je sors ma gourde et bois une gorgée apreciant cette eau fraiche avec cette chaleur.

- Excuse moi pour le dérangement me lanca t'il d'une voix glacial.

Je voulais le renvoyer balader, mais les mots ne venait pas. Je voyais son corp famélique qui me donnais des frissons. Sa maigreur. Il ne mangeait pas. Voyant mon lin pas finie et je n'avais plus faim. Et je pourrais en chasser d'autre. Si sa se trouve iolne savais pas manier un arc. Au lieu de ma première idée je dis d'd'un ton calme, comme si il ne m'avait pas parler de se ton. Il se recula pour commencer à partir.
- C'est pas grave. Tu peu rester si tu veux,  il y a du feu. dis je calmement

J'entendais les pas se rapprocher.  Je prend mon arc au cas où.  Pour ne pas inquiété l'inconnu je dissimule mon arc.

-Si tu veux il reste du lapin , et j'ai plus faim . Tu en veux ?

Et là je vois une ombre. Je pointe ma flèche vers la présence. Et là je vois qu'il se prend l'autre inconnue. Je pouffe de rire et met ma main devant ma bouche pour m'arrêter en me lançant à moi même une injure. Gamine. ( Je le dis à moi même vous ne l'entendez pas )

Je dis rien a ce qu'elle me propose. étant de nature méfiante je n'aimait pas trop m'incruster chez les autres, enfin, si on pouvait appeler ça une maison. Je détailla les alentours avec un regard passif. La voute était en pierre noir, un peu boueuse d’où perlait quelque stalagmitiques et du calcaire. Il y avait une petite cavité un peu plus haut, d’où perçait un peu de lumière dévoilant la jeune femme accroupi a terre arc a la main. Elle était plutôt jolie, sa courbe était fine et elle semblait musclé mais semblait aussi souffrir de la famine... Sa peau était d'un jolie tain pèche et ses long cheveux ondulé formait des boucles rousses et gracieuse... Ses yeux étaient en amande et d'une belle couleur noisette. Je passais ma main distraitement dans les cheveux les ramenant vers l'arrière, je sentie une présence et une odeur de froid intense s'ensuivait. Je voulu me retourner mais une fille me rentra dedans et se retrouva sur les fesses. Je reculais et m'appuya contre un mur en fixant de haut et d'un air froid la jeune fille, je marmonnai une excuse et m'écarta, mes ombres m'entourant et grimpant sur mes épaules pour voir les deux filles... Je marmonne

-Si ça ne te dérange pas...

Après tout c'était toujours de la nourriture en plus, je m'approche et accroupi en face d'elle la dévisageant de mes yeux de glaces, le feu réchauffant mes membres ankylosés. J'avais vraiment l'impression de l'avoir déjà vu quelque part. Je m'adossai a la paroi de roche et regarda l'autre fille. 2 ou 3 ombres étaient contre moi et se glissai entre mes jambes ou sous mes bras... C'était un peu des sortes de spectres qui suivaient mes ordres, je contrôlais les ténèbres donc le néant...

Myokara vit que la jeune femme face à elle abaissa enfin son carquois. Elle soupira de soulagement, elle ne risquait plus de finir transpercée. Néanmoins l'autre invita le jeune homme dans lequel Myokara s'était accidentellement cognée à venir manger. Tout deux lui étaient familiers... Mais qui ? Qui cela pouvait-il bien être ? Myokara n'arrivait pas à s'en souvenir, seul une crevasse vide occupait son esprit gelé. Alors, quand les deux autres commencèrent à manger, elle se mit à l'écart dans un coin, seule. Myokara n'avait jamais témoigné de réelle affection pour personne, à part peut-être sa jeune soeur disparue depuis de nombreuses années. La solitude était sa seule amie, et rien d'autre n'intéressait vraiment la jeune femme aux pouvoirs de glace. La dernière fois qu'elle avait voulu essayer de se faire des amis, tout avait été fichu en l'air quand suite à des menaces, elle les avaient malheureusement congelés sous le coup de la colère. Les yeux de Myokara se voilèrent. Elle était une incapable, nulle. Elle n'arivait même pas à maitriser son pouvoir puissant, mais extrêmement dangereux.

J'étais là à attendre. Quand il se rapprocha du feu je le voyais mieu. Il avait des traits fin, des cheveux noir mi chocolat très foncé,  et puis ces yeux. Il était magnifique. Je suis tombé sur le charme envoûtant de ses yeux.Je lui donnis le reste de lapin et un bout de pain. Il ne restait rien pour l'autre qui quand à elle se tenait à l'écart. Alors je me concentre et j'entend un écureuil. Je viulais su'il soit mort. Et là il tombe raide. Je n'an'aimais pas tuer des proies avec mon pouvoir , il n'avait pas le choix. Alors qu'il pouvait sentir. À présent je veux qu'il vienne. Il vient led yeux vitreux. Je le prends et le jette dans le feu. En entendant qu'il cuisent je regarde l'inconnu. Il y avait des ombres autour de lui en train de me regarder.  Ce sont des âme ou des ombres ? Je plise les yeux mais je ne savais pas. Je comptaisl emander. Mais j'hésitais. Je voulais sue l'écureuil vienne. Et il vient près demoi et retombe au sol inerte. Je l'envoie à l'inconnue arrachant avant quelque morceau pour l'iinconu en face de moi. Je lui envoi le bout que je vennais de couper. Je m'en doutais qu'il me regardait bizarrement, où qu'il venait de découvrir mon pouvoir. Je suis la mort incarnez gare à moi ! .

Je la regardai faire silencieux, son pouvoir devait être redonner vie aux morts ou alors... Les faire mourir ou... Je ne dit rien et la dévisagea, elle était étrange mais me plaisait. silencieuse et calme c'est tout ce que j'aimais. Je passa ma main dans mes cheveux en les rabattant vers l'arrière, observant la voute d'ou perlait des gouttes d'eau et en laissa couler quelques unes le long de mon visage en fermant les yeux. La fille au fond aussi restait a l'écart et ne disait rien, je lui jetait un coup d'oeil en coin et haussa les épaules. étrangement elle me disait quelque chose mais je ne poserai pas de question, je ne pose jamais de question. Que dire de toute façon ? J'enlevais ma cape et la posa sous moi puis m'adossa contre le mur, en soupirant de soulagement. Il y avait une légère source plus loin, au fond de la grotte contre une parois et je partit me mettre de l'eau sur le visage, pour me débarrasser un peu de cette crasse qui m'habitait. J'en profitais pour boire un peu, tout était si silencieux, certain devait trouver ça pesant mais moi j'aimais le silence. Je secouai la tête laissant de l'eau couler partout et retourna a ma place, je fixai le feu comme hypnotisé, il était agréable mais quelque chose me dérangeait. Mes ombres aussi s'agitaient et je leur intimait silencieusement d'arrêter. Je me retournai et plongea mes yeux océan de glace dans ceux de la fille qui m'observait, celle qui m'avait offert le lapin. Je me souviens d'une phrase que j'avais souvent entendu dans ma tête, comme si ce n'était pas moi qui la disait mais un autre, you are the darkness , you can not escape your fate has. Je frémis et agrippa mon t-shirt le regard vide et vague perdu dans mes pensées obscures tel mon cœur.

Myokara leva un peu le regard quand elle vit que la jeune femme près du feu manipulait un écureuil, mort, vivant ? Il était d'abord tombé comme mort, avant de marcher vers l'autre, les yeux vitreux. Une étincelle se fit dans l'esprit de la reine des neiges. Cette jeune femme était nécromancienne ! Elle avait beau essayer de se rappeler son nom, elle n'y parvenait pas. L'homme, quant à lui, était entouré d'ombre mouvante, qu'au fond Myokara aimait bien. L'autre jeune femme lui envoya alors un morceau de l'écureuil qu'elle venait de tuer et de cuire. Myokara n'avait pas faim, mais elle dit tout de même, polie:

_ Merci.

Le son de sa voix triste et mélancolique se répercuta sur les murs de la caverne. Myokara se serra un peu plus contre la paroi de roche dure et froide, que son pouvoir avait rendu gelée, tandis que de minuscules flocons tournaient autour d'elle. Elle n'était bonne qu'à se lamenter, s’apitoyer sur son sort, elle était blanche, invisible, transparente. La jeune femme aux yeux bleus glace soupira. Elle n'avait jamais accepté son pouvoir, car c'était à cause de lui que, le jour de ses sept ans, sa soeur bien-aimée avait disparu sous un éboulis de roches gelées.

Je les voyais toujours me dévisager comme ci je venais de faire quelque chose d'extraordinaire alors que pour moi c'est normal. Je me sentais comme jamais dans une sécurité imposante. Je sentais leur regards lumineux dans ma nuque, je frissone et détourne le regard pour à présent visualiser le feu. Je met mes mains proches du feu pour mon réchauffer . Je ferme les yeux appréciant les faibles chaleurs des flammes dansantes devant moi. Je rouvre les yeux , et là je vous le feu diminuer. Des flocons tombait à flot, la caverne devenait glace. Je visionne l'endroit le plus tempêtueux, vers la jeune fille. Je me lève et m'approche de l'inconnue. Je lui prend les mains poyr les réchauffer entre les miennes. Je lui remet une mèche de cheveux derrière l'oreille. Je me penche vers elle.
-La souffrance est inconnue à celui qui ne connaît le bonheur. Tu l'a connu hein ce bonheur,  mais pourquoi refuse tu de le connaître plusieurs fois ? Ce n'est pas en connaissant cette affreuse amie qui est "souffrance " , que tu contrôlera ton pouvoir. murmurais je .
Je lui lâche lamain et vient me remettre à ma place. Comme si de rien était je bois un autre coup d'eau m'essuyant la bouche avec mon T shirt.