La présentation de Elena Merodie
Nom :Merodie
Prénom :Elena
Age : 15 ans
Sexe : feminin
Pouvoirs:Vide l’énergie vitale des personnes (elle voit aussi la couleurs des âmes), elle ne peut que l'utiliser trois ou quatre fois par jour...
Groupe:Detenteurs enfermés
J'étais, je suis et je serais...
Physique (2 lignes minimum) :
Elena est une jeune fille aux longs cheveux noirs, elle a des yeux pourpres agrémentés par quelques nuances de bleu. Son visage est fin. Elle est fine et élancé. Son corps est couverts de cicatrices roses pales détonant au milieu de sa peau blanche comme neige.
Caractère (2 lignes minimum) :
Elena est d’apparence froide et distante. Elle est renfermée sur elle-même, elle s’est forgée carapace qui ne laisse jamais un seul sentiment apparaître sur son visage à part quelques sourire forcé se qui la fait paraître insensible. Pourtant elle aimerait être proche de quelqu’un et se sentir aimé. Pourtant elle a peur de blesser quelqu’un et elle évite donc de s’approcher de trop près des personnes qu’elle apprécie. Elle aime observée et aidée les autres à leur insu. Elle voue une haine féroce aux humains quelle qu’ils soient. Elle aime chantée et dansée pour oublier sa solitude.
Histoire (5 lignes minimum) :
Je me réveillai encore une fois dans cette salle sombre remplie d’objets de torture qui luisait d’une couleur effrayante à la lumière de la lune pénétrant dans la salle par une petite fenêtre. Ma peau nue était remplie de cicatrice où perlait encore quelque goutte de sang. Mon oncle pénétra alors dans cet endroit, à son arrivé je ressentis une incroyable frayeur, ses yeux d’un noir profond semblaient remplis de rage. Son aura rouge tournoyait autour de lui dans un tourbillon de colère et de rage. Sa démarche décidée ne me laissa aucun doute sur la tournure des évènements. Il me regardai dans les yeux avec un sourire terrifiant, il pris alors un des fouets qui se trouvait là. Des sueurs froides coulaient le long de mon dos, commença alors le supplice. A chacun de ses coups il augmentait sa force. Des larmes perlaient dans mes yeux écarquillés par la peur, mes gémissements résonnaient dans la pièce close. Soudain la sonnette retentit, mon oncle me regarda en me faisant comprendre que ce n’était pas fini et s’éloigna doucement essayant de reprendre bonne mesure pour éviter que l’invité ne devine se qu’il se passe.
Je laissai alors mes larmes couler à flots dans un silence pesant. On n’entendait que les pas de mon bourreau dans cette maison vides comme d’habitude et entendit la porte s’ouvrir. Mon oncle vivait seul à l’écart de la civilisation, pourtant personne ne savait que j’étais là. Je repris ma respiration et essaya d’entendre la conversation, je ne compris que quelque bribe de phrase. « Parents morts par sa faute… emmené… centre spécial pour anormaux » J’entendis alors mon oncle crié contre ses inconnus, puis d’un coup il s’arrêta, un gros bruit retentit alors. Sans savoir pourquoi j’eus un mauvais pressentiment, deux personnes pénétrèrent dans la salle de torture. Elles étaient en combinaisons noires et avançaient de façon inquiétante, ils m’arrachèrent alors de mes chaînes et m’attrapèrent le bras en me forçant à sortir de la pièce. On passa alors près d’une salle où gisait sur le sol couvert de sang mon oncle qui avait une impression terrifiée, plantée dans sa poitrine un couteau d’où émanait quelque chose d’inquiétant. J’eus alors un mouvement de recule, ses personnes me semblait effrayante et me terrifiait. Une des deux personnes avaient laissé un coin de sa peau à découverts, je posa alors ma main sur cet endroit et commença à aspirer son énergie vitale. Au bout de quelque secondes s’en était fini, je pris alors mon courage à deux mains et me dirigeas vers la porte. Je me souvins alors d’une affreuse douleur ressentis sur l’arrière de mon crâne avant de m’enfoncer dans les ténèbres.
Je vis alors mon oncle, me regardant distant comme perdus dans les limbes de son passés m’expliquer que c’était moi qui avait tués mes parents à cause de mes pouvoirs. Il m’avait expliqué que quand j’étais né ma mère était la première à m’avoir prise dans ses bras quand elle s’effondra sur le sol inerte. Mon père m’avait alors pris dans ses bras, il était lui aussi tombé sur le sol comme une poupée de chiffon, les médecins avaient alors paniqués se demandant se qu’ils se passaient. Par la suite plusieurs aurait essayé de me prendre et seraient morts… Ils auraient alors compris mais entre temps une dizaines de personnes étaient mortes par ma faute. Cet événement avait alors pris une ampleur démesuré, passant à la télé et sur les journaux. Les autorité avait alors pris la décisions de m’isoler pour éviter un autre massacre.
Mes paupières s’ouvrirent avec difficulté, la lumière m’éblouissait et m’empêchais d’ouvrir les yeux. J’essayai de faire un mouvement mais il fut directement arrêté par des liens accrochés au lit sur lequel j’étais allongé. Je regardais autour de moi, des murs blanc, vide, deux chaises marron se partageaient le petit espace dépourvu de fenêtre. La porte s’ouvrit alors laissant apparaître un vieil homme froid. Il m’ausculta et repartis sans répondre à une seule de mes questions. Pendant plusieurs jours je me demanda ce que les hommes en noirs me voulaient, puis un jour je compris… Des hommes ressemblant à ceux qui m’avaient attrapés m’emmenèrent dans une salle ou un jeune homme regardait affolés la porte, les hommes me chuchotèrent alors « tue-le » je les regarda effarés et leur répondit affolé « non jamais » ils me poussèrent alors contre le jeune homme qui voulant me rattrapé me toucha et il s’effondra. Je poussai un cri effroyable et fondis en larmes. Par la suite, les Hommes me redemandèrent de tuer plusieurs personnes qui leurs avaient désobéi. Je ne voulais qu’ils sachent que sa m’affectais au plus au point, c’est à se moment là que je me forgea une carapace.
Le jour ou plusieurs personnes s’enfuirent, je me trouvais dans les dernière personnes à m’enfuirent. Plusieurs enfants se firent attrapé, voulant les idées je me précipitas vers les hommes en noirs. J’essayais de toucher le plus d’humains possible évitant de toucher les êtres qui étaient comme moi, des anormaux. Apres cela devint flou, je sauvas plusieurs personnes se qui m’empêcha de m’enfuir. Depuis se jour, les membres m’on intégré dans une salle commune dans laquelle je ne peux m’approcher de personnes. Malgré tous un jours une personne de ma cellule me toucha et mourut devant les autres. Depuis se moment là plus personnes ne m’approche, les traqueurs m’emmène dans des salles pour tuer des personnes et quelque fois il m’emmène avec eux dans des meurtres. Malgré tous, je garde la fois et je sais qu’un jour tous le monde sera libres…
Et pour finir...
Comment tu nous as connus ? Par une amie
Tu en pense quoi, de ce forum ?je le trouve bien
Une idée, une suggestion, une critique à faire ?pas pour l’instant
Temps de présence ici :le plus souvent possible
Tu as lu le règlement ?oui
Alors donne moi les trois codes : miaam ! valider par jikan ;P
Autre chose ?non
Sam 25 Avr - 22:36
je lock et déplace !