Une rencontre [PV Kira]

Je me réveille mais ne bouge d'abord pas. Les yeux clos je tends l'oreille, je suis allongé sur une sorte de paillasse, sale et crasseuse au fond d'une cellule. Des gouttes perles du plafond pas très étanche et s'écrase au sol. Je bouge mes bras et m'assois sur mon coude encore somnolent et abruti par les drogues que l'ont m'avait administré hier. Je me tient au mur et me lève, mes chevilles et mes poignets rattaché a des menottes me les cisaillant. Mes cheveux d'une couleur rouge pétant détonne sur ma peau blafarde et couverte par différentes cicatrices infligés ces 7 dernières années. 7 ans, oui 7 ans que je suis enfermés ici sans entrevoir le moindre espace libre ou autorisé par ma personne. J'ai tué, oui énormément, les enfermeurs se servant de moi comme une arme. Certain on laissé entendre que comme j'avais un pouvoir élémentaire il ne me tuerais pas, car c'était plutôt rare. Cela ne me rassurait pas vraiment, plutôt mourir que rester enfermé toute ma vie dans ce trou a rat. Un sourire sarcastique et hautain étire mes lèvres tandis que j'entends la porte se déverrouiller, je sortirais, quoiqu'il en coute... Mais il fallait attendre le bon moment... Je ne perdais pas espoir mais si je restais enfermé une année de plus je risquerais de me perdre dans l'oubli et devenir une simple machine, un objet, un numéro. Deux enfermeurs s'approche méfiant et je lève les mains avec un sourire sombre pour leur signifer que j'étais réveiller. Ils s'approchent prudement, de quoi avait il peur ? L'un me détache les chevilles pour que je puisse marcher et me fait sortir d'un brusque coup d'épaule, ne manquant pas de me faire trébucher pour montrer qu'il était le plus fort. Je marche d'un pas assuré vers l'entrée et sort. Dehors c'est l'appel du matin. Je passe au répertoire et me fait enregistré. On m’emmène au réfectoire, toujours accompagné des deux larbins. Je m'assois a une table, les poignets attachés et ils me foutent des drogues dans mon assiette composé d'une purée froide ressemblant a de la bouillis et du veau qui n'en était surement pas. Je soupire tandis que les enfermeurs vont s'assoir a une autre table et m'observe la moue méprisante, l'un me lance en ricanant "t'as intérêt a manger sinon tu sais ce qui t'attend." je leur lance un regard noir, presque de tueur, oui celui qui tue pour sa survie et l'un détourne le regard vous vous croyez les plus fort mais vous êtes pitoyables...  Pensais je amèrement. Je plonge ma fourchette dans la purée jaunâtre et fade, et la fourre dans ma bouche tentant d'ignorer le gout amère que me procurait les drogues, s’imprégnant dans mon palais. Je ne sentait plus le gout de rien depuis longtemps, effet secondaire. J'ai un peu pris l'habitude de ces médocs, au tout début tu as des papillons noirs qui volètent devant tes yeux dès la première cuillère mais maintenant c'est qu'a la fin de l’assiette que ma tête ce fait lourde et que j'ai l'impression de flotter dans un brouillard. Les autres ils en mettaient a petite dose mais ça suffisait a les abrutir, mais moi il en mettaient un paquet, a cause de mon pouvoir difficile a contenir, de plus, plus les années passe plus les drogues font de moins en moins effets car le corps apprend a les contenir et s’habitue a elles, alors ils en mettent encore plus, moi au bout de 7 ans c'est sur qu'ils en ont mis une tonne . Tout ça pour m'abrutir, c'était tellement plus simple pour eux... Tellement pathétique. Un ricanement sorti de ma bouche tandis que je fourrais une autre cuillère dans ma bouche.

Je me levais péniblement de ma ''cage'' en titubiant. Les tortures qu'on m'avais infligé ne fesais plus vraiment effet depuis qu'on a environ une grande habitude d'avoir passé la motier de sa vie ici. Maintenant je me rappele meme plus la couleur du ciel, ni meme ce que c'est de manger de la bonne nourritures, mes sucrerie me manquais enormement ainsi que mes parents. Ca va peut etre faire huit ans que je suis la, si je resume bien. Depuis la mort de ma meilleurs amie, et la decouverte par un coup de colere mon pouvoir, ils avaient decider de m'utiliser comme pile electrique, si je n'accumelais pas assez d'energie on me battais tres fort. Qu'importe cette torture est de seconde zone a comparé de ce que je vais offrir a tout le personnel de TSW. Tout en marchant dans le couloir sombre, les mains gantee de gant en caoutchouc dans mes poches, je souriais sombrement. J'allais leur apprendre la Torture avec un grand T, me venger et aussi venger Sonia.
J'arrivais au refectoire, la ou les repas avaient un gout horrible qu'on servais a petite portion. Au programme ce qui ressemblais a une puree et de la viande qui ressemblait a un bout de pneu trop cuit. Je souriait a la cuisiniere sombrement. Oui je vais peut etre me venger des cantinieres aussi. Je regarde autour de moi toute les tables etaient prises sauf celle d'un homme aux cheveux rouge. Lui aussi c'est un ancien prisonniers et les prisonniers anciens sont rare je connaissait que lui les autres ce sont des nouveaux qui vont crevez a la torture de seconde categorie. Je pose mon plateau et m'assois a coter de l'homme. J'ebourifie mes cheveux blanc neige devenu gris par endroit a cause de la poussiere. Je prend mon carnet noir et s'en preté attention a l'homme j'ecrivit le nom de la cantiniere 'Josephine'' si je me rappele bien je marque la facon dont elle va mourir. J'ecris avec etape la facon de sa torture, je vais la pendre par les pieds tremper dans une grande marmitte cuite a grand feu avec quelque carrote et pomme de terre. Fiere de mon travail je reposait mon cahier dans un coin de la table. Prend mon assiette et regarde avec hesitante le repas. Je grommele un truc et regarda l'homme mangeais sans broncher.
-Les repas sont vraiment horribles ici, dis je dans un ton de conversation. Comment tu t'appele?
Avant qu'il puisse repondre, je pris un bonbon qui etait dans ma poche que j'avais ''emprunter'' a un nouveau de TSW un petit d'environ huit ans qui pleurais.

Je mange le regard vague et l'esprit vide, le brouhaha incessant autour de moi me laisse indifférent. A par une légère migraine commençant a passer, mais je savais que l'effet des médicaments effaceraient tout. La douleur, mes peines, ma peur, ma haine, tout disparait. C'est juste un instant de béatitude caché sous un masque malsain. Ces drogues... Je savais pas ce que c'était mais nombre des gens n'y résiste pas. Je regarde un garçon au cheveux blanc comme neige salit pas la crasse de l'environnement et aux cicatrices récentes, s'assoir a côté de moi. Je l'avais vu quelques fois dans les couloirs. ça ne faisait pas si longtemps qu'il était la, enfin bon... D'après ce que j'avais entendu il était passé au second degré des entrainement, pas mal. Moi j'en étais a nombre, en fait j'avais dépassé largement le niveau depuis le temps. J'étais passé de la simple torture au niveau 2 a la torture niveau trois, ils te font subir des choses horribles, pendant un moment j'ai vécu ça. Maintenant c'est de la torture mentale, j'ai tué nombre de personnes.... Ho pas comme si c'était une dizaine mais bien plus, Je ne sais plus combien maintenant. Je n'écoutait plus rien, perdu dans mes pensées, commençant a ressentir les premiers effets de la drogues. La question du garçon me sortit de mes pensées, je le regarda en penchant la tête de côté, mes cicatrices encore plus visible, mon visage dégagé, surtout celle partant vers l'oreille jusqu'à ma nuque et descendant le long de mon dos. Je luis sourit sarcastiquement, dévoilant mes dents plus pointues que la normal et dit d'une voix ironique

-Mais que dis tu ? J'adore manger des ordures !

J'avais dit ça bien fort pour les dames qui servaient me lançant un regard noir. J'éclate de rire faisant balancer un peu ma chaise et regarde les enfermeurs qui me fixe méchamment avec des moues méprisantes. Mon expression changea pour devenir dur froide, mes yeux rouge réduit a deux fentes prenant un léger éclat argentés, puis tout redevient normal. Je me repenche sur mon assiette faisant tinter la cuillère sur le bord de la table en bois usé. Ici on peut utiliser qu'une petite partie de nos pouvoirs, pas assez pour se battre bien sur, alors je fais tourner mon verre d'eau en le regardant et forme des petites boules d'eau qui reste quelques instant dans l'air avant de retomber dedans. Je pousse un long soupire exaspéré, hâte d'être a l'entrainement pour pouvoir me déchainer. Je finit par lâcher

-Jiyu. Jiyu Hariken, et toi donc ?

Jiyu. Je marque son nom dans mon cahier noir. Lui aussi il eprouvait une profonde haine aux traqueurs plus que c'est gens d'ici. Son pouvoir doit etre l'eau. Interressant. Je note tout cela dans mon cahier noir. Puis je leve mes yeux ocean vers lui.
-Je suis Feitan.
Je ferme mon cahier sur la table regarde le plat chaud puis je commencais a sourire sombrement en fermant les yeux.
-Tu dis que tu adores les ordures n'est ce pas?
Je souris encore plus sombrement.
-Moi je hait les ordures. Je vais m'en debarrassé car ils sont inutile surtout dans ce monde que je vais créer.
Je me leve de la table, pris mon assiette. S'il croivent que je vais manger tranquillement ils se fourrent les doigts dans l'oeil. Je lance l'assiette de purée sur la cantiniere. Je monte sur la table.
-Yosh but, pannier. Je suis le meilleur!, dis je en jouant le role d’un petit garcon fiere de son but.
Je voyais tres bien sous son visage couvert de purée que la cantiniere était enerver. Je lui souriaissait angeliquement.
-On dis toujours que la puree c’est bon pour la peau miss.